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Introduction à la danse soufie

Introduction à la danse soufie

Pratiquer la danse soufie, c’est s’accorder au rythme secret de la vie.

Cette danse agit en profondeur : elle apaise le mental, libère les émotions et développe la présence à soi. Le mouvement circulaire favorise l’ancrage, l’équilibre et la vitalité du corps tout en ouvrant la conscience à une dimension spirituelle.

Le Sama permet d’expérimenter l’unité, celle du souffle, du cœur et de l’univers, et d’entrer dans un état d’harmonie silencieuse où tout devient prière.

La danse soufie n’est pas une simple chorégraphie : elle est une prière en mouvement, un souffle tourné vers l’invisible. Héritée de la tradition mystique du soufisme, cette danse invite à une union profonde entre le corps, l’esprit et l’âme. En tournant sur soi-même, le danseur soufi cherche à s’élever, à se dépouiller du moi pour goûter à la présence divine.

Chaque rotation devient alors une offrande, une traversée intérieure, une célébration de la vie. 

Les origines de la danse soufie

La danse soufie trouve sa source dans la voie spirituelle du poète persan Jalâl ad-Dîn Rûmî (XIIIᵉ siècle), fondateur de l’ordre des Derviches Tourneurs à Konya, en Anatolie.

Inspiré par son maître Shams de Tabriz, Rûmî transforma l’extase mystique en mouvement circulaire. Le Sama, terme persan signifiant « écoute », naquit de ce dialogue entre la musique, la poésie et le Divin.

Au fil des siècles, cette pratique s’est transmise comme un rituel sacré, une méditation vivante où le geste devient prière. 

La pratique de la danse soufie

Danser soufi, c’est apprendre à tourner autour d’un axe invisible : celui du cœur.

Les pieds ancrent la terre, le corps s’ouvre au ciel, les bras dessinent la circulation de l’énergie, la main droite tournée vers le haut, recevant la grâce, la main gauche vers le bas, la transmettant au monde.

La pratique demande discipline, respiration consciente et abandon. Elle unit la rigueur du geste à la douceur de l’intention.

Tourner, c’est renaître à chaque instant, au rythme du souffle et du silence intérieur. 

Où pratiquer la danse soufie ?

De plus en plus d’espaces accueillent aujourd’hui la danse soufie : centres spirituels, festivals, retraites de méditation ou écoles spécialisées.

L’École Internationale de Danse Soufie fondée par Rana Gorgani est l’une des rares structures à proposer un enseignement authentique, transmis dans le respect de la tradition tout en étant ouvert à la modernité.

Des retraites, stages et formations ont lieu en France, en Turquie, au Maroc et dans d’autres lieux sacrés, pour permettre à chacun d’expérimenter le Sama comme un chemin de transformation intérieure.

Bienfaits de la danse soufie

Pratiquer la danse soufie, c’est s’accorder au rythme secret de la vie.

Cette danse agit en profondeur : elle apaise le mental, libère les émotions et développe la présence à soi. Le mouvement circulaire favorise l’ancrage, l’équilibre et la vitalité du corps tout en ouvrant la conscience à une dimension spirituelle.

Le Sama permet d’expérimenter l’unité, celle du souffle, du cœur et de l’univers, et d’entrer dans un état d’harmonie silencieuse où tout devient prière.

Découvrez la danse méthode Rana Gorgani

Créée par la chorégraphe et derviche tourneuse Rana Gorgani, la méthode Rana Gorgani propose une approche contemporaine de la danse soufie, accessible à tous, sans distinction de culture ni de croyance.

Cette méthode relie les enseignements ancestraux du soufisme à une exploration artistique du mouvement. Elle met en lumière la dimension symbolique du geste, la beauté de la rotation et la puissance du souffle.

À travers une pédagogie vivante et sensible, Rana Gorgani invite chacun à devenir le centre de sa propre spirale, à danser sa lumière intérieure, et à faire du corps un instrument de l’âme.

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